Plutôt des bureaux vides que du logement abordable : chronique d’une crise annoncée Eder Pozo Pérez - Unsplash

Ou « Quand les fonds immobiliers tirent profit de la crise des bureaux », titre le quotidien d'idées AOC. La sociologue et chercheuse Marine Duros y signe un texte sur la financiarisation de l’immobilier en France, et de ses effets sournois.

Adoptée en juin, la loi Daubié a instauré le concept de « réversibilité » – soit la capacité des bâtiments à changer facilement d’usage, notamment du bureau à l’habitat. Sous des apparences de politique vertueuse se cache une rhétorique de greenwashing, et l’absence de volonté politique vis-à-vis du cœur du problème : la financiarisation de l’immobilier.

La politique a priori vertueuse vient surtout soutenir l’ouverture d’un nouveau cycle d’accumulation du capital pour les fonds d’investissement immobiliers propriétaires de ces bureaux vides, au détriment de la majorité des habitants, anticipe Marine Duros.

La suite


Articles récents

Le patrimoine bâti lavallois

Le patrimoine bâti lavallois

Pour son 60e anniversaire, la Ville de Laval a lancé les Prix du patrimoine. Voici les lauréats de cette première mouture.


Lire la suite
Finalistes et lauréats 2025

Finalistes et lauréats 2025

Le jury des Mérites d’architecture 2025 de la Ville de Québec a sélectionné des projets exemplaires qui se distinguent se distinguent en architecture, en design urbain et en patrimoine bâti à Québec.


Lire la suite
Poste Berri – Prise 2

Poste Berri – Prise 2

À la suite du tollé suscité par le choix du terrain Berri/Ontario pour la construction de son futur poste électrique, Hydro-Québec examine un scénario inattendu : l’ancien hôpital de la Miséricorde.


Lire la suite
Magazine FORMES
6 numéros pour seulement 29,95 $

Restez informé avec
notre infolettre

M’inscrire...
Merci pour votre inscription, vous devez maintenant confirmer votre abonnement par courriel. Consultez votre boîte de réception.

Vous n’avez pas de compte ?

Créer un compte